La Cinémathèque se dresse comme une silhouette de verre et de métal, saisie en noir et blanc pour laisser parler ses lignes. Les reflets glissent sur les façades, brouillent les contours, inventent d’autres architectures. Dans ces contrastes profonds, le bâtiment devient presque une fiction : un lieu où la lumière découpe le réel comme un montage, et où chaque surface renvoie une image différente de la ville qui l’entoure. Un hommage silencieux au cinéma, à ses jeux d’ombre et d’illusion.
Cinémathèque
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